ALAVOINE André Tipografo
Typographe
Parigi 15.2.1843 - inizio aprile 1909.
Membro del Comitato centrale della Comune di Parigi. Contribuì a salvare gli archivi nazionali dal saccheggio e dall'incendio. Il terzo consiglio di guerra lo condannò in contumacia, il 29 agosto 1873, alla deportazione in una prigione fortificata. Rifugiato a Ginevra /GE, partecipa a la Solidarité, al Comité de propagande révolutionnaire e al comitato redazionale del giornale Le Révolté, il cui primo numero apparve il 22.2.1879. Fu tra i 54 firmatari (con Andignoux, Montels, Perrare...) della lettera/manifesto Au citoyen Garibaldi, 4 pagine stampate del gennaio 1875 e, nel 1880, scrisse con 16 altri esiliati l'opuscolo Les Proscrits français et leurs calomniateurs..., 38 pagine stampate da lui stesso. A Ginevra lavorò come tipografo, poi nel 1873, fondò una tipografia con un certo Jean Ziegler. Qui venne pubblicato la Chronique radicale, Carillon, poi La Lanterne di Henri Rochefort. Vende la sua tipografia a fine agosto 1880.
Con l'aministia del 1880, ritorna nell'autunno a Parigi, riprendendo una tipografia.
Né le 15 février 1843 à Paris ; mort début avril 1909.
Alavoine fit partie du Comité central de la Commune de Paris. Il contribua à sauver les archives nationales du pillage et de l’incendie. Le 3e conseil de guerre le condamna par contumace, le 29 août 1873, à la déportation dans une enceinte fortifiée. Réfugié à Genève, Alavoine appartint à la Solidarité et au Comité de propagande révolutionnaire et fit partie du comité de rédaction du journal Le Révolté, dont le premier numéro parut le 22 février 1879. Il avait été au nombre des 54 signataires (avec Andignoux, Montels, Perrare…) de l’adresse Au citoyen Garibaldi, quatre pages imprimées, de janvier 1875, et, en 1880, écrivit avec seize autres exilés la brochure Les Proscrits français et leurs calomniateurs..., 38 pages imprimées par ses soins. À Genève, Alavoine travailla comme typographe puis, en 1873, monta une imprimerie avec un certain Jean Ziegler. Elle publiait notamment la Chronique radicale, le Carillon, puis la Lanterne d’Henri Rochefort. Amnistié, Alavoine quitta Genève en automne 1880 et reprit une imprimerie à Paris, passage de l’Opéra.
FONTI: ME-GB// DBMOF - Journal de Genève, 8.9. 1880, 12.4.1881 - Le Figaro, 5 avril 1909 - PPBA438 -
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