Cantiere biografico
degli Anarchici IN Svizzera








ultimo aggiornamento: 14/04/2024 - 10:27

FILTRI:  Solo Donne  Solo di passaggio  Solo collaboratori dall'estero  Solo non anarchici  Solo non identificati  ultime modifiche 
Cantoni:
 AI AR AG BL BS BE FR GE JU GL GR LU NE
 NW OW SG SH SO SZ TI TG UR VS VD ZG ZH
inverti selezione cantoni     vedi sigle

AI Appenzello interno
AR Appenzello esterno
AG Argovia
BL Basilea campagna
BS Basilea città
BE Berna (anche città - capitale)
FR Friborgo (anche città)
GE Ginevra (anche città)
JU Giura
GL Glarona
GR Grigioni
LU Lucerna (anche città)
NE Neuchâtel (anche città)
NW Nidwaldo
OW Obwaldo
SG San Gallo (anche città)
SH Sciaffusa (anche città)
SO Soletta (anche città)
SZ Svitto (anche città)
TI Ticino
TG Turgovia
UR Uri
VS Vallese
VD Vaud
ZG Zugo (anche città)
ZH Zurigo (anche città)
    A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z tutto       Crea un PDF 

NIVON Pierre, Joseph, François (alias Jean-Louis Fayard)

operaio metallurgico



ouvrier métallurgiste



Lione 11.2.1893 - Lione 31.3.1951

Milita negli ambienti libertari agli inizi degli anni 1910. Il 7 gennaio 1914, quando
svolge il servizo militare come marinaio-meccanico, diserta. Arrestato il 4 luglio al momento della mobilitazione generale viene inserito nel 55esimo reggimento di fanteria. Rinviato nelle retrovie a causa di una malattia, lavora nell'officina meccanica Samson. Secondo la polizia sua moglie - Laurence Marie Guillon - teneva un caffé, qualificato di "malfamato". Il 10.4.1916 lavora nel deposito metallurgico e decide di disertare per la seconda volta.

Con la carta di identità di Jean-Louis Fayard, un compagno lionese conosciuto prima della guerra, si rifugia in Svizzera il 22.4.1916.

Venne condannato nel 1918 in Svizzera a 15 giorni di prigione per sostegno alla prostituzione.


 Lyon, le 11 février 1893 - Lyon le 31 mars 1951.

Fils d'un chaffeur, Nivon militait dans les milieux  libertaires au début des années 1910. Le 7 janvier 1914, alors qu'il effectuait son service militare comme matelot-mécanicien tourneur, il désertait. Arrêté le 4.7.1914, il était affecté au moment de la mobilisation générale au 55è régiment d'infanterie. Renvoyé à l'arrière à la suite d'une maladie, il travaillait à l'usine métallurgique Samson. Selon la police, sa femme, Laurence Marie Guillon, tenait un café rue des Trois Pierres, qu'elle qualifiait de "malfamé". Le 10.4.1916 il était affecté au dépôt des métallurgistes et décidait pour la seconde fois de déserter. Avec les papiers d'identité de Jean-Louis Fayard, un compagnon de Lyon, qu'il avait connu avant guerre, il passait en Suisse le 22.4.1916.
Il fut condamné en 1918 en Suisse à 15 jours de prison pour vagabondage.


Le même personnage? et déjà en Suisse? : "Mardi soir, vers 10 heures, M. Joseph Nivon, mécanicien,se trovait au café Crisinel, place de la Madeleine, et causait avec la sommèlière, Mlle Yvonne Miron. Sur ces entrefaites arriva l'ami de cette dernière, le nommé Henri Icardi, Italien. Il s'approcha de M. Nivon et le pria de sortir avec lui, sous pretexe de régler un compte. M. Nivon le suivit: une discussione assez vive s'engagea entre les deux hommes. Tout à coup, Icardi sortit un revolver de sa poche e fit feu à deux reprises sur M. Nivon, sans toutefois l'atteindre, puis il s'enfuit à toutes jambes... Icardi fut reconnu et arrêté." (Journal de Genève, 26.6.1913),


FONTI:

ME-GB  // DIMA / GB: Journal de Genève, 26.6.1913 / Trib. de Genève 16.6.1918 /




CRONOLOGIA: